Pix : Mon jardin, hier. Depuis, il est retombé +/- 50 cm. de neige. Ce qui, contrairement à ce qu'on peut voir au journal télévisé de ces chers Français, ne cause guère de désagréments par chez moi. Vive les pneus neige !
Beigbeder avait-il raison en écrivant cette phrase ? N'a-t-on réellement qu'un seul grand Amour ?
A l'aube des fêtes de Noël, de grands doutes m'envahissent. Cette nouvelle vie a dû mal à se mêler avec l'ancienne. Ma nouvelle vie trouve difficilement une place à mon amour. Je ne sais si c'est le fait que la distance nous empêche de nous voir un peu plus qu'avant, mais je suis en train de rentrer dans une phase qui ne me plaît guère.
Il y a peu, quand on ne se voyait pas un week-end, c'était un drame pour moi. Chaque particule de ma peau ressentait son manque, mon moral avait besoin de lui pour tenir bon, ma vie ne trouvait pas son sens avec lui. Et aujourd'hui, c'est quand il est là que ma vie prend un cours différent.
Tous ces week-end passés loin de lui depuis septembre m'ont fait réalisé que finalement, je me plaisais tout aussi bien seule qu'avec lui.
En-dehors de ça, je ressens encore une grande sensation de manque à certains moments. J'ai toujours envie de le voir, et me confier après chaque journée m'est indispensable.
Mais voilà, avoir 20 ans, peu d'expériences à son actif, et sortir avec un homme de 25 ans, au chômage, chez ses parents, à 300 km de chez moi, et en dépression, je ne sais pas si c'est réellement ce qu'il me faut.
Je me demande si, quelque part, je ne reste pas avec lui simplement pour lui, simplement pour son intérêt à lui.
Quand je suis avec lui, je redoute énormément son mauvais caractère. Il part dans des crises de colère énormes, pour rien, ou pour des choses qui moi ne me semblent pas graves.
Il est susceptible, et voit en moi grande quantité de choses qui ne vont pas ! Il n'est pas romantique, pas attentionné, et n'est donc pas du tout ce à quoi j'ai aspiré pendant des années.
Mais à côté de ça, il reste un des êtres qui me comprenne le mieux au monde ! Il me soutient toujours dans mes actions, dans mes échecs, dans mes réussites. Je peux passer des heures dans ses bras à contempler ses yeux, et des heures à discuter avec lui.
Mais où en suis-je bon sang ? Pas plus tard qu'hier, je me suis retrouvée à dire à une crème d'homme qui me draguait : "Tout ce qui est casé est décasable !".
A l'aube des fêtes de Noël, de grands doutes m'envahissent. Cette nouvelle vie a dû mal à se mêler avec l'ancienne. Ma nouvelle vie trouve difficilement une place à mon amour. Je ne sais si c'est le fait que la distance nous empêche de nous voir un peu plus qu'avant, mais je suis en train de rentrer dans une phase qui ne me plaît guère.
Il y a peu, quand on ne se voyait pas un week-end, c'était un drame pour moi. Chaque particule de ma peau ressentait son manque, mon moral avait besoin de lui pour tenir bon, ma vie ne trouvait pas son sens avec lui. Et aujourd'hui, c'est quand il est là que ma vie prend un cours différent.
Tous ces week-end passés loin de lui depuis septembre m'ont fait réalisé que finalement, je me plaisais tout aussi bien seule qu'avec lui.
En-dehors de ça, je ressens encore une grande sensation de manque à certains moments. J'ai toujours envie de le voir, et me confier après chaque journée m'est indispensable.
Mais voilà, avoir 20 ans, peu d'expériences à son actif, et sortir avec un homme de 25 ans, au chômage, chez ses parents, à 300 km de chez moi, et en dépression, je ne sais pas si c'est réellement ce qu'il me faut.
Je me demande si, quelque part, je ne reste pas avec lui simplement pour lui, simplement pour son intérêt à lui.
Quand je suis avec lui, je redoute énormément son mauvais caractère. Il part dans des crises de colère énormes, pour rien, ou pour des choses qui moi ne me semblent pas graves.
Il est susceptible, et voit en moi grande quantité de choses qui ne vont pas ! Il n'est pas romantique, pas attentionné, et n'est donc pas du tout ce à quoi j'ai aspiré pendant des années.
Mais à côté de ça, il reste un des êtres qui me comprenne le mieux au monde ! Il me soutient toujours dans mes actions, dans mes échecs, dans mes réussites. Je peux passer des heures dans ses bras à contempler ses yeux, et des heures à discuter avec lui.
Mais où en suis-je bon sang ? Pas plus tard qu'hier, je me suis retrouvée à dire à une crème d'homme qui me draguait : "Tout ce qui est casé est décasable !".